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Carte Blanche: l'insécurité, flamands, les wallons pensent comme vous

2 participants

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Message par Papy Happy Sam 26 Mar - 22:08

BRUXELLES FAR WEST:

AMIS FLAMANDS, LES FRANCOPHONES PENSENT COMME VOUS !

Dans le débat sur l’insécurité à Bruxelles, les Flamands disent tout haut ce que la plupart des
francophones pensent tout bas. Bruxelles est malade. De sa violence, de ses zones de non-droit,
de ses mafias, de l’impunité, aussi, dont bénéficient trop souvent quelques centaines de petits
caïds, pourrissant la vie des citoyens. Les partis de gauche francophone – surtout le PS bruxellois
de Philippe Moureaux - refusent de regarder la réalité en face. Ils minimisent les violences
urbaines. Une partie de la presse francophone banalise également ces faits. Mes amis flamands
ne comprennent pas cette attitude. Elle est, en effet, paradoxale. Hélas, en Belgique francophone,
il existe très peu de Luckas Vander Taelen, très peu de responsables politiques et d’intellectuels
de gauche pragmatiques. En Belgique francophone, « tolérance zéro » est un gros mot. La plupart
de mes amis de gauche le considèrent presque comme un slogan fasciste. Une certaine gauche,
angélique et moralisatrice, fait régner un terrorisme intellectuel. Je suis prudent. Je m’exprime ici
à titre personnel. Dans ma rédaction, mes collègues de gauche me reprocheront sans doute mes
propos « sécuritaires ».

Amis flamands, les francophones pensent comme vous. Comme vous, ils constatent les faits : des
émeutes violentes, cet été, à Molenbeek et à Anderlecht. Les casseurs ont injurié et attaqué les
forces de l’ordre, nargué les autorités, assiégé les habitants de certains immeubles. Le 20 novembre,
de jeunes voyous ont lancé des cocktails Molotov dans le commissariat de Cureghem – entièrement
saccagé –incendié des voitures, détruit du mobilier urbain. Rue de Ribaucourt, à Molenbeek, les
violences sont quasi permanentes. Les médias en parlent peu. Les politiques minimisent, comme
d’habitude. Depuis le début d’année, c’est l’escalade : hold-ups en série, usage d’armes de plus en
plus lourdes, comme des kalachnikovs, policiers pris pour cible, rébellion de jeunes à Anderlecht,
après la mort d’un braqueur – un habitant du quartier – qui venait de blesser gravement un policier,
braquage encore, ce week-end... Mais le socialiste Philippe Moureaux déclare : « La situation ne se
dégrade pas, à Bruxelles ». Sur quelle planète vit le président du PS bruxellois ?

Que faire ? Personne ne détient de recette miracle pour en finir avec la violence et les émeutes
à répétition qui sont autant de coups de canif dans l’Etat de droit. Pas de recette miracle, mais
un préalable : aucun retour au calme ne sera possible aussi longtemps que certains, soucieux
d’un « politiquement correct » soi-disant de gauche, s’obstineront à travestir la réalité. Il est urgent
d’en finir avec l’omerta anti-sécuritaire.

A droite comme à gauche, un consensus devrait exister sur quelques constats-clé. Ces grands
constats sont au nombre de dix. Ils sont incontournables, et pourtant niés par la gauche politique
francophone, hélas de plus en plus incapable de remplir sa première mission : assurer la tranquillité
et la sécurité physique du peuple. Quels sont ces dix constats ?

1. Des violences majeures. « Ce ne sont que des gamins désoeuvrés, il ne faut pas exagérer 
l’importance de ces mini-révoltes qui ne sont le fait que de quelques dizaines de petits caïds », 
répètent en boucle certains responsables politiques, surtout à gauche. Erreur de diagnostic :

ces violences sont majeures, car non seulement elles visent la destruction des fondements
de la démocratie, mais en plus, elles perturbent quotidiennement – entre deux émeutes,
la peur est omniprésente – la tranquillité des citoyens. Une démocratie qui plonge dans la
peur est une démocratie malade. Toute guérison passe par un diagnostic sans tabou. Et la
reconnaissance de la gravité du mal.
2. Nommer les émeutiers. A quoi bon le passer sous silence ? La quasi-totalité des jeunes
émeutiers qui mettent périodiquement le feu aux poudres dans les quartiers, sont d’origine
arabo-musulmane. Ils forment une petite minorité certes, mais très agressive. Fait nouveau :
de plus en plus de parents des casseurs prennent la défense des délinquants. C’est une
tendance lourde, contre laquelle il faut réagir, sans masquer qu’il existe un problème
spécifique dans une partie de la communauté musulmane.

3. Des violences racistes. Le Mouvement contre le Racisme, l’Antisémitisme et la Xénophobie
(MRAX) n’ouvrira pas le moindre dossier. Et pourtant, comment nier que les violences
urbaines dans certains quartiers bruxellois traduisent la montée d’un racisme anti-Blancs
au sein d’une minorité de la population ? Fin août, les émeutes de la rue de Ribaucourt, à
Molenbeek, ont été éclairantes, à cet égard. Ce sont les maisons et les voitures des non-
musulmans et des Blancs qui ont ciblées avec précision par les jeunes voyous. Il faut y ajouter
un autre racisme, tout aussi abject : le racisme anti-homosexuels. Etre un homo, dans les
cités, c’est aujourd’hui la triste assurance d’être l’objet de vexations incessantes.

4. Un antisémitisme galopant. « Sale Juif » est devenu une insulte courante dans une partie
de la jeunesse d’origine arabo-musulmane. Un Juif qui afficherait des signes extérieurs de sa
judéité aurait quelques soucis à se faire dans certains quartiers. Les insultes anti-juives sont
banalisées par beaucoup de professionnels de l’antiracisme. Ces derniers donnent la priorité
à ce qu’ils appellent la « lutte contre l’islamophobie », débouchant sur une quasi interdiction
de critiquer l’islam.

5. Un racisme anti-policiers. Si des policiers ont commis des actes répréhensibles, à Forest ou
ailleurs, ils doivent bien sûr être sanctionnés. Mais ces sanctions ne doivent pas faire oublier
l’essentiel : les forces de l’ordre sont régulièrement narguées, injuriées, provoquées, par une
minorité de jeunes qui tentent de les empêcher de faire leur boulot. Une sorte de »racisme
anti-flic » prospère dans certains quartiers, qui risquent de se transformer en zones de non-
droit.

6. Le rôle des mafias… et des islamistes. Des trafiquants de drogue instrumentalisent de
jeunes désoeuvrés pour tenter de « sanctuariser » leur territoire, empêcher toute mixité
sociale, qui pourrait gêner leurs petits et grands trafics. De même des militants islamistes, et
leurs compagnons de route gauchistes, incitent à la révolte en multipliant les discours anti-
Occidentaux.

7. Travailleurs vraiment sociaux ? Certains médiateurs et travailleurs sociaux jouent un rôle
remarquable dans les quartiers dits difficiles. Mais d’autres jettent de l’huile sur le feu,
en relativisant la responsabilité des émeutiers. « C’est aussi la faute à la société, il faut 
comprendre la colère des jeunes » est leur leitmotiv. L’ambiguïté de l’attitude de certains
travailleurs sociaux de terrain est rarement dénoncée. Pourtant, elle n’apaise pas les
tensions.

8. Trop d’impunité. Même pour des faits gravissimes – incendie d’un commissariat, jet de
pierres contre des policiers, rébellion… - il y a rarement des mandats d’arrêt. La plupart
du temps, les jeunes émeutiers interpellés sont immédiatement relâchés. Cette forme
d’impunité n’ouvre-t-elle pas une voie royale vers la récidive ?

9. La culture de l’excuse,… une inculture « Il faut les comprendre ! ». Certains travailleurs
sociaux ne sont pas les seuls à tenter d’excuser les jeunes casseurs. Divers universitaires,
sociologues, criminologues, réputés « très à gauche », abondent dans le même sens. La
culture de l’excuse qu’ils véhiculent n’est rien d’autre qu’une dramatique inculture. Rien ne
justifie le jet de cocktails Molotov sur un commissariat.

10. Le danger du discours victimaire. C’est le discours d’une certaine gauche : « Ces jeunes 
sont tellement souvent victimes du chômage, des discriminations, du racisme… qu’il n’est 
pas étonnant qu’ils se révoltent ». Certes, il faut se battre contre le mal-vivre de ces jeunes
d’origine immigrée, encore trop souvent victimes de discriminations et du racisme. Mais
les présenter systématiquement comme des victimes est un contresens. Surtout, cela
les renforce dans leur conviction qu’ils ont le droit de narguer l’autorité et de casser
aveuglément.

Par idéologie anti-sécuritaire, une partie de la gauche masque ces constats. La sécurité
à Bruxelles est une affaire trop sérieuse pour être laissée aux seules mains de la gauche
francophone. Amis flamands, nous avons besoin de vous. Pour que Bruxelles ne devienne pas le
Far West.

Claude DEMELENNE

Rédacteur en chef du Journal du Mardi

Coauteur, avec Alain Destexhe, du livre « Lettre aux progressistes qui flirtent avec l’islam réac »,
éditions du Ceriser

La carte Blanche


Et avec un peu de chance, il va se faire incendier par la gauche bien pensante qui vient nous parler d'un "sentiment d'insécurité" -____-"

Enfin un type qui l'ouvre un peu et tape du poing sur la table cheers
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Message par Pierre S. Lun 28 Mar - 1:49

Ton intervention part d'un bon sentiment : le respect et le bien-être de chacun. Maintenant, n'est-ce pas un peu fort de décrire Bruxelles uniquement par ses côtés négatifs ? En ce qui concerne les agressions, il y en a eu par le passé, certes, mais comment peut-on affirmer avec certitude que c'est encore le cas aujourd'hui ?? Sur quoi se base-t-on ?

Après, je suis d'accord avec toi, les cercles vicieux de paupérisation ne doivent pas prendre place dans la capitale (ni dans le monde en général, mais ça c'est une autre histoire). Alors quels moyens mettre en œuvre pour arriver à des cercles vertueux de bien-être ? Comment arriver à faire croître l'IDH dans les zones moins favorisées ? Quelles pistes dégager ?
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Message par Papy Happy Jeu 31 Mar - 4:51

Je ne dis pas qu'il ne faut parler que des points négatifs de Bruxelles, et je serai le premier à en vanter le points positifs mais je pense que vouloir perpétuellement nier la réalité ne mène à rien.

Alors quoiqu'il arrive, la première étape à franchir est l'acceptation. Pour pouvoir résoudre le problème, il faudra bien qu'ils admettent qu'il y en a un et pas seulement un "sentiment d'insécurité"
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